12 décembre 2007
QUAND JE FERME LES YEUX
Des baisers, j’en ai croisés quelques uns, des qui s’envoyaient en l’air du bout des doigts, des étourdis, des volés, des éméchés.
Des juvéniles, des maladroits, des matinaux et des mal placés.
Des baisers désespérés et puis des désespérants...
Mais un baiser de toi...
Quand je ferme les yeux, je sens la chaleur de tes mains sur mes hanches.
Je sens l’odeur de ta peau, délicatement parfumée, mes mains sur ton visage si doux.
Je sens mon cœur qui bat sous ta poitrine, je sens tes lèvres qui brûlent sur ma bouche.
Oui, quand je ferme les yeux...
Publicité
Commentaires
N
P
V