15 septembre 2008
L'INSTANT D'APRES
Je sais, je t’ai déçu... Mais finalement, ça ne change pas. Déjà gamin, c’était comme ça. Pas les bonnes manières, pas les bonnes notes. Une silhouette chétive, trop fragile, et puis des mains si fines, presque féminines. Tu rêvais pour moi d’une vie...